1945, à Paris. Paul Valéry, vieux solitaire indifférent à la fureur des temps, doit en admettre l’horreur.
Cherchant la lumière, il rouvre le carnet hérité dans sa jeunesse de Berthe Morisot, peintre du silence et de l’absolu. Dans ses mots, il affronte l’exigence vitale de beauté qui fut sa quête. Revient alors le souffle de la vie, malgré tout.