En septembre 1946, une revue yiddish de Buenos Aires publie Yossel Rakover s'adresse à Dieu, un court texte de Zvi Kolitz se présentant comme l'ultime message d'un combattant du ghetto de Varsovie.
Très vite, l'intense apostrophe de Yossel Rakover qui, tel un nouveau Job, appelle Dieu à la barre, va devenir un symbole, le dernier testament de la révolte contre l'injustice. Dès sa publication, le texte échappe à son auteur et commence un long et singulier voyage de par le monde.
Suit une longue liste de polémiques, hautement borgésiennes, que Paul Badde, un journaliste allemand, est parvenu à reconstruire. Son enquête est ici complétée par un texte d'Emmanuel Lévinas qui, en 1955, avait déjà célébré dans Yossel Rakover la vibrante intensité d'un psaume moderne.
Très vite, l'intense apostrophe de Yossel Rakover qui, tel un nouveau Job, appelle Dieu à la barre, va devenir un symbole, le dernier testament de la révolte contre l'injustice. Dès sa publication, le texte échappe à son auteur et commence un long et singulier voyage de par le monde.
Suit une longue liste de polémiques, hautement borgésiennes, que Paul Badde, un journaliste allemand, est parvenu à reconstruire. Son enquête est ici complétée par un texte d'Emmanuel Lévinas qui, en 1955, avait déjà célébré dans Yossel Rakover la vibrante intensité d'un psaume moderne.