« Il sera bien temps de trouver comment nous séparer et pour moi comment vivre avec juste l’idée de toi, ta présence ici ou là et ton absence un peu partout, nous verrons bien. »
Un vendredi de janvier, Jean reçoit un appel de la voisine d’un ami. Vincent s’est suicidé. Sans laisser aucune lettre, aucune explication. Rien ne laissait présager un tel geste.
Ou si peu.
Bouleversé, Jean s’installe chez lui, en Bourgogne, pour organiser les funérailles. Pendant quelques jours, il va vivre seul dans cette maison où il avait l’habitude de le retrouver pour un week-end ou les vacances.
En parcourant ses carnets, ses dessins, en arpentant des paysages qu’ils ont aimés, il noue un dernier dialogue avec son meilleur ami, et avec lui-même.
D’une plume virtuose qui restitue chaque nuance au plus près des émotions, Gilles Moinot évoque ceux qui restent avec douceur et tendresse.
Un vendredi de janvier, Jean reçoit un appel de la voisine d’un ami. Vincent s’est suicidé. Sans laisser aucune lettre, aucune explication. Rien ne laissait présager un tel geste.
Ou si peu.
Bouleversé, Jean s’installe chez lui, en Bourgogne, pour organiser les funérailles. Pendant quelques jours, il va vivre seul dans cette maison où il avait l’habitude de le retrouver pour un week-end ou les vacances.
En parcourant ses carnets, ses dessins, en arpentant des paysages qu’ils ont aimés, il noue un dernier dialogue avec son meilleur ami, et avec lui-même.
D’une plume virtuose qui restitue chaque nuance au plus près des émotions, Gilles Moinot évoque ceux qui restent avec douceur et tendresse.