1875. De retour d’une année de service militaire à Brest, Jean-Marie Le Guen reprend son poste de chauffeur mécanicien à la Société linière du Finistère, grande usine de filature et de tissage employant des milliers d’ouvriers à Landerneau. Orphelin de père et de mère, il y a commencé comme apprenti quand il avait douze ans.
Le travail est exténuant. Jean-Marie, qui a des racines paysannes, supporte mal le bruit, la crasse, la poussière, les horaires interminables, les risques d’accident. Il rêve de devenir ingénieur et étudie d’arrache-pied quand il en a le temps.
Mais sans argent, sans expérience, sans appuis, quitter la Linière pour tenter l’aventure serait un pari risqué. D’autant qu’il est passionnément épris de Mary, la fille du contremaître en chef, l’intimidant David Mac Leod. Celui-ci acceptera-t-il de laisser la jeune Écossaise suivre dans ses projets fous un Breton avide de liberté ?
S’appuyant sur un véritable travail d’enquête, l’auteur de La Fille du goémonier reconstitue dans ce roman vivant et chaleureux le destin d’une de ces figures méconnues mais exemplaires qui peuplent la mémoire de la Bretagne.
Le travail est exténuant. Jean-Marie, qui a des racines paysannes, supporte mal le bruit, la crasse, la poussière, les horaires interminables, les risques d’accident. Il rêve de devenir ingénieur et étudie d’arrache-pied quand il en a le temps.
Mais sans argent, sans expérience, sans appuis, quitter la Linière pour tenter l’aventure serait un pari risqué. D’autant qu’il est passionnément épris de Mary, la fille du contremaître en chef, l’intimidant David Mac Leod. Celui-ci acceptera-t-il de laisser la jeune Écossaise suivre dans ses projets fous un Breton avide de liberté ?
S’appuyant sur un véritable travail d’enquête, l’auteur de La Fille du goémonier reconstitue dans ce roman vivant et chaleureux le destin d’une de ces figures méconnues mais exemplaires qui peuplent la mémoire de la Bretagne.