" Après avoir mangé, on peut penser à tout ou presque, disait ma grand-mère Celia : à la politique, à l'amour, à l'éducation, à la culture, à la religion et même aux affaires et à la réussite sociale. [...] J'ignore si ma famille a quelque chose de singulier. Cependant, dès que j'ai pu penser par moi-même, j'ai suspecté que cette relation obsessionnelle avec la "bonne bouffe" n'était pas seulement le problème de ma famille, mais une illustration supplémentaire de ce que l'on nomme l'identité cubaine."
De Cuba, nous connaissons la musique, les plages et Castro. Nous ignorons souvent qu'une gastronomie désormais fantasmée en est toute la substance. Ici plus qu'ailleurs priment la bonne chère et les souvenirs de ces plaisirs ! René Vázquez Díaz nous propose avec ce jubilatoire roman culinaire le récit de ses aventures personnelles et sa vision de l'île. Saveurs de Cuba mélange les recettes les plus alléchantes, avec un goût prononcé pour l'anecdote et l'investigation familiale. Le résultat est un livre délicieux et fascinant : par le biais de brèves et savoureuses notes littéraires, liées d'une façon ou d'une autre à la cuisine, l?auteur recrée l'atmosphère de son enfance, décrit les membres les plus sympathiques et les plus extravagants de sa famille et, en de rapides flashs autobiographiques, évoque des instants de sa vie à Cuba et, depuis son exil, en Suède.
De Cuba, nous connaissons la musique, les plages et Castro. Nous ignorons souvent qu'une gastronomie désormais fantasmée en est toute la substance. Ici plus qu'ailleurs priment la bonne chère et les souvenirs de ces plaisirs ! René Vázquez Díaz nous propose avec ce jubilatoire roman culinaire le récit de ses aventures personnelles et sa vision de l'île. Saveurs de Cuba mélange les recettes les plus alléchantes, avec un goût prononcé pour l'anecdote et l'investigation familiale. Le résultat est un livre délicieux et fascinant : par le biais de brèves et savoureuses notes littéraires, liées d'une façon ou d'une autre à la cuisine, l?auteur recrée l'atmosphère de son enfance, décrit les membres les plus sympathiques et les plus extravagants de sa famille et, en de rapides flashs autobiographiques, évoque des instants de sa vie à Cuba et, depuis son exil, en Suède.