Pierre Brasseur, c'est l'enfant terrible du théâtre, le garnement des années trente. Il n'a pas perdu le goût de la provocation. Poète surréaliste, il a été l'ami de Breton, d'Eluard, de Cocteau, de Prévert, de Desnos et de Dali.
Sa vie en vrac, ce sont ses souvenirs depuis le temps du Montparno, avec Modigliani, Hemingway ; ses poèmes, ses jugements - tranchés - et les rêves d'un très grand acteur qui excelle aussi, comme on le verra, à peindre, avec un pinceau acide ou tendre, ses contemporains les plus connus. Des portraits, souvent d'une drôlerie irrésistible, émaillent ce volume.
Interprète de pièces prestigieuses et de films célèbres, Pierre Brasseur se dit cependant plus homme de la rue qu'homme de théâtre. A vrai dire, il aime tout : les copains, les femmes, le vin, l'air du temps. Un peu « anar », il n'est - dit-il - ni un saint ni un voyou, mais un peu les deux...
Les souvenirs qu'il donne aujourd'hui sont éblouissants. Ils ne sont pas du tout ceux d'un mémorialiste minutieux mais d'un homme brillant, comme il est, exquis, mais parfois déchaîné et dont l'exactitude est celle de sa vérité, qui, par miracle, devient la nôtre.
Sa vie en vrac, ce sont ses souvenirs depuis le temps du Montparno, avec Modigliani, Hemingway ; ses poèmes, ses jugements - tranchés - et les rêves d'un très grand acteur qui excelle aussi, comme on le verra, à peindre, avec un pinceau acide ou tendre, ses contemporains les plus connus. Des portraits, souvent d'une drôlerie irrésistible, émaillent ce volume.
Interprète de pièces prestigieuses et de films célèbres, Pierre Brasseur se dit cependant plus homme de la rue qu'homme de théâtre. A vrai dire, il aime tout : les copains, les femmes, le vin, l'air du temps. Un peu « anar », il n'est - dit-il - ni un saint ni un voyou, mais un peu les deux...
Les souvenirs qu'il donne aujourd'hui sont éblouissants. Ils ne sont pas du tout ceux d'un mémorialiste minutieux mais d'un homme brillant, comme il est, exquis, mais parfois déchaîné et dont l'exactitude est celle de sa vérité, qui, par miracle, devient la nôtre.