Joseph est âgé, il vit avec la petite Lupita dans leur modeste appartement, en compagnie des souvenirs précieux qu’il garde de sa famille, du Prodigieux Petit Théâtre créé par son grand-père, et d’Alba, son grand amour.
Tous les jours il arpente les trottoirs, fouille les poubelles à la recherche d’objets abandonnés, de matériaux divers qu’il transforme, dans le secret de sa chambre.
Un soir, de retour d’une de ses expéditions, il trouve la fillette de sa voisine assise sur les marches du palier du troisième. La nuit tombe. Il fait froid.
À contrecœur, Joseph lui propose d’attendre sa mère chez lui. Il laisse ainsi entrer dans sa vie ce tendre duo mère-fille, au risque de bouleverser le fragile équilibre de ses jours avec Lupita.
D’une écriture sensible et poétique, Marie-Sabine Roger évoque avec une grande beauté une forme d’attachement, hors des liens du sang.
Tous les jours il arpente les trottoirs, fouille les poubelles à la recherche d’objets abandonnés, de matériaux divers qu’il transforme, dans le secret de sa chambre.
Un soir, de retour d’une de ses expéditions, il trouve la fillette de sa voisine assise sur les marches du palier du troisième. La nuit tombe. Il fait froid.
À contrecœur, Joseph lui propose d’attendre sa mère chez lui. Il laisse ainsi entrer dans sa vie ce tendre duo mère-fille, au risque de bouleverser le fragile équilibre de ses jours avec Lupita.
D’une écriture sensible et poétique, Marie-Sabine Roger évoque avec une grande beauté une forme d’attachement, hors des liens du sang.