Jeune trentenaire installée dans le sud des Etats-Unis, Toni Beauchamp vient d'enterrer sa mère Elena, fameuse dans la région pour sa réputation de sorcière et sa propension à voir son esprit investi par quelques divinités mineures peu adaptées aux arcanes de notre monde contemporain. Rien de dramatique dans tout cela, sinon qu'enfant Toni ne supportait pas de voir sa mère constamment montrée du doigt, et qu'elle a fini par développer un véritable blocage vis-à-vis de son ascendance. Comment réagir, dès lors, en découvrant qu'avec le décès d'Elena c'est à elle-même qu'échoient ces talents pour le moins singuliers ? Comment admettre, enfin, son héritage ?
Par cette oeuvre sensible et douce-amère, métaphore subtile de l'acceptation de ses racines, Sean Stewart s'impose en digne héritier des maîtres du réalisme magique, Calvino, Pynchon ou Garcia Marquez. Mais L'Oiseau moqueur nous offre aussi le portrait magnifique d'une femme d'aujourd'hui confrontée aux mystères de la maternité.
« Stewart écrit sur la magie comme s'il s'agissait d'un fait journalier, avec ses propres règles et ses propres motifs. »
NY Times Book Review
Par cette oeuvre sensible et douce-amère, métaphore subtile de l'acceptation de ses racines, Sean Stewart s'impose en digne héritier des maîtres du réalisme magique, Calvino, Pynchon ou Garcia Marquez. Mais L'Oiseau moqueur nous offre aussi le portrait magnifique d'une femme d'aujourd'hui confrontée aux mystères de la maternité.
« Stewart écrit sur la magie comme s'il s'agissait d'un fait journalier, avec ses propres règles et ses propres motifs. »
NY Times Book Review