Femme de lettres, femme du monde, femme fatale, Marie de Régnier brilla de tout l’éclat de sa grâce et de son esprit sur la vie littéraire française de la Belle Époque aux Années folles.
Fille de José-Maria de Heredia, l’un des maîtres du mouvement parnassien, promoteur de l’Art pour l’Art, elle est courtisée dans le cénacle de son père par deux jeunes poètes : Henri de Régnier et Pierre Louÿs. Mariée à Henri, le plus fortuné des deux, c’est de Pierre qu’elle est éprise et dont elle devient l’amante. Elle aura à ses pieds beaucoup d’autres écrivains comme Gabriele d’Annunzio ou Henry Bernstein, nouera des idylles féminines qui ne manqueront pas de scandaliser.
Elle-même poétesse délicate, romancière à succès, elle est admirée en son temps à l’égal de Colette. Donnant la parole à la soeur aînée de Marie, Hélène, Michel Peyramaure nous fait entrer dans l’intimité d’une femme extraordinairement libre, vivante, sensuelle, dont la vie tumultueuse se lit comme un roman.
Fille de José-Maria de Heredia, l’un des maîtres du mouvement parnassien, promoteur de l’Art pour l’Art, elle est courtisée dans le cénacle de son père par deux jeunes poètes : Henri de Régnier et Pierre Louÿs. Mariée à Henri, le plus fortuné des deux, c’est de Pierre qu’elle est éprise et dont elle devient l’amante. Elle aura à ses pieds beaucoup d’autres écrivains comme Gabriele d’Annunzio ou Henry Bernstein, nouera des idylles féminines qui ne manqueront pas de scandaliser.
Elle-même poétesse délicate, romancière à succès, elle est admirée en son temps à l’égal de Colette. Donnant la parole à la soeur aînée de Marie, Hélène, Michel Peyramaure nous fait entrer dans l’intimité d’une femme extraordinairement libre, vivante, sensuelle, dont la vie tumultueuse se lit comme un roman.