Le roman-vérité des services secrets
Roman très informé et palpitant sur la vie d’un agent-secret au Maghreb au lendemain du 11 septembre, Les confessions de l’ombre, est le premier tome d’une série française « à la John Le Carré ».
Officiellement, Bastien Hernandez est économiste. En réalité, c’est un agent dormant des services secrets français en poste au Maroc. Il mène une vie en apparence anodine dans une villa isolée, sur les hauteurs de Tanger. Soudain, son existence est bouleversée par l’attentat du 11 septembre. Les services de renseignements sont placés en alerte maximum. Un banal prospectus est glissé dans sa boîte aux lettres : l’agent dormant est réveillé. Hernandez reçoit la mission de surveiller une communauté évangéliste américaine aux agissements suspects. « Pas de violence », ordonne la Boîte. Mais deux enfants sont assassinés... S’engage alors un chassé-croisé haletant entre la CIA, les services secrets français et les réseaux islamistes.
Le héros évolue « dans l’absolue réalité où il faut bien payer son loyer à la fin du mois, s’assurer contre les dégâts des eaux, faire ses courses chez l’épicier du coin, déboucher son évier […] Bref, l‘environnement ordinaire de l’officier de renseignement qui n’est jamais, au grand jamais , ce Monsieur qui puise sans compter dans une valise de dollars […], qui saute de Bentley en Ferrari, en permanence environné d’une cours d’égéries aguichantes […] »
Alain Chouet, ancien chef du service de renseignement de sécurité de la DGSE
« Les confessions de l’ombre » ou la vie quotidienne d’un officier de renseignements français révèlent la dure réalité du monde clandestin des services secrets, et font voyager le lecteur à travers Tanger, dans un portrait saisissant.
Roman très informé et palpitant sur la vie d’un agent-secret au Maghreb au lendemain du 11 septembre, Les confessions de l’ombre, est le premier tome d’une série française « à la John Le Carré ».
Officiellement, Bastien Hernandez est économiste. En réalité, c’est un agent dormant des services secrets français en poste au Maroc. Il mène une vie en apparence anodine dans une villa isolée, sur les hauteurs de Tanger. Soudain, son existence est bouleversée par l’attentat du 11 septembre. Les services de renseignements sont placés en alerte maximum. Un banal prospectus est glissé dans sa boîte aux lettres : l’agent dormant est réveillé. Hernandez reçoit la mission de surveiller une communauté évangéliste américaine aux agissements suspects. « Pas de violence », ordonne la Boîte. Mais deux enfants sont assassinés... S’engage alors un chassé-croisé haletant entre la CIA, les services secrets français et les réseaux islamistes.
Le héros évolue « dans l’absolue réalité où il faut bien payer son loyer à la fin du mois, s’assurer contre les dégâts des eaux, faire ses courses chez l’épicier du coin, déboucher son évier […] Bref, l‘environnement ordinaire de l’officier de renseignement qui n’est jamais, au grand jamais , ce Monsieur qui puise sans compter dans une valise de dollars […], qui saute de Bentley en Ferrari, en permanence environné d’une cours d’égéries aguichantes […] »
Alain Chouet, ancien chef du service de renseignement de sécurité de la DGSE
« Les confessions de l’ombre » ou la vie quotidienne d’un officier de renseignements français révèlent la dure réalité du monde clandestin des services secrets, et font voyager le lecteur à travers Tanger, dans un portrait saisissant.