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Le Voleur du palais

Ethan Canin

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Papier22,30 €
Les quatre chefs-d'oeuvre de ce livre ont pour dénominateur commun le sentiment trouble d'une culpabilité : quatuor de l'imposture par un jeune écrivain d'une stupéfiante maturité, dont le style économe et précis révèle, par touches infimes, les secrets de l'âme humaine.
Dans Le Voleur du palais, un professeur d'histoire d'une pension huppée raconte la relation qu'il a entretenue toute sa vie avec un élève malhonnête, devenu chevalier d'industrie milliardaire, et avoue la manière dont sa complicité silencieuse avec le tricheur a fait de lui un lâche.
Le Comptable est l'histoire d'un employé modèle ayant toujours respecté les règles du jeu, qui devient obsédé par le succès phénoménal d'un ami d'enfance aventureux et peu scrupuleux.
Baforsag et Szerelem est la tragi-comédie d'une démystification. Un jeune garçon, William, fasciné par la rébellion de son frère aîné Clive, prodige en mathématiques, compositeur de musique et inventeur d'un nouveau langage, découvre ses secrets inavouables
La Ville des coeurs brisés met en scène Wilson, quinquagénaire divorcé auquel son fils Brent présente une charmante veuve dont il croit tomber amoureux ; fable d'un homme qui se leurre à son insu tout en se culpabilisant.
" Canin captive si bien le lecteur que l'anticipation de la fin est presque un effroi. "
Publishers Weekly
" Les nouvelles d'Ethan Canin sont éblouissantes : à vous couper le souffle, ou à vous briser le coeur. "
Walker Percy
" Du suspense, de l'émotion, de l'observation, du plaisir : voici l'oeuvre d'un écrivain au talent phénoménal. "
London Sunday Times
Ethan Canin est né en 1960 à Ann Arbor, dans le Michigan. Il vit aujourd'hui en Californie, où il a achevé des études de médecine commencées à Harvard. Son premier recueil de nouvelles, L'Empereur de l'air, a reçu aux Etats-Unis le prix Houghton Mifflin avant d'être traduit dans une dizaine de pays. Sa parution en France (Albin Michel, 1990) a valu à l'auteur de flatteuses critiques : " On pense à Raymond Carver " (Le Nouvel Observateur) ; " Une sacrée maturité d'écrivain " (L'Express).
Traduit de l'anglais (américain) par Marianne Véron.

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