Mary O'Hara commença à se former à la littérature en écoutant les sermons de son père, ministre de l'église épiscopale. Plus tard, elle vint avec sa grand-mère en Europe, y étudia les langues et la musique.
Petite fille, elle vivait l'hiver dans l'atmosphère citadine de Brooklyn Heights où se trouvait la paroisse de son père, mais passait l'été en Pennsylvanie, dans la propriété de sa grand-mère qui possédait une ferme, des chevaux, des vaches, des poneys.
Un des premiers désirs de son enfance eut pour objet un poulain qu'on lui avait promis et qu'on ne lui donna pas. Cette circonstance fut déterminante dans le choix de son sujet lorsqu'elle commença d'écrire.
Elle a épousé un Américain d'origine suédoise qu'elle suivit au Wyoming. C'est là qu'elle connut la vie du ranch, si bien décrite dans ses romans.
Ayant acquis une réputation considérable comme écrivain et dialoguiste de films, Mary O'Hara est connue aussi comme compositeur de mélodies et de pièces pour piano.
Dans le premier volume de la série, Mon amie Flicka, qui se situe, comme les suivants, dans le cadre grandiose du Wyoming, nous voyons comment le fait d'avoir une pouliche à lui donne au petit Ken McLaughlin le sens de ses responsabilités. Le sentiment tendre et protecteur à la fois qui l'unit à Flicka est analysé avec une exquise compréhension.
Le Fils de Flicka - Thunderhead - met en scène un Ken plus sûr de lui, aux prises avec les instincts contradictoires qu'un atavisme complexe a donné au poulain. Le sacrifice que Ken s'impose finalement par respect pour la personnalité de l'animal termine le livre sur une note émouvante.
Dans l'Herbe verte du Wyoming, Ken quitte définitivement l'enfance pour atteindre l'âge d'homme, d'un homme qui va connaître l'amour avec ses joies et ses douleurs.
Le Ranch de Flicka raconte la vie quotidienne de Mary O'Hara et de son mari quand ils vivaient la dure expérience des ranchers nouvellement installés. La romancière livre ses confidences avec simplicité, passant des détails familiers à des méditations sur l'existence humaine.
Petite fille, elle vivait l'hiver dans l'atmosphère citadine de Brooklyn Heights où se trouvait la paroisse de son père, mais passait l'été en Pennsylvanie, dans la propriété de sa grand-mère qui possédait une ferme, des chevaux, des vaches, des poneys.
Un des premiers désirs de son enfance eut pour objet un poulain qu'on lui avait promis et qu'on ne lui donna pas. Cette circonstance fut déterminante dans le choix de son sujet lorsqu'elle commença d'écrire.
Elle a épousé un Américain d'origine suédoise qu'elle suivit au Wyoming. C'est là qu'elle connut la vie du ranch, si bien décrite dans ses romans.
Ayant acquis une réputation considérable comme écrivain et dialoguiste de films, Mary O'Hara est connue aussi comme compositeur de mélodies et de pièces pour piano.
Dans le premier volume de la série, Mon amie Flicka, qui se situe, comme les suivants, dans le cadre grandiose du Wyoming, nous voyons comment le fait d'avoir une pouliche à lui donne au petit Ken McLaughlin le sens de ses responsabilités. Le sentiment tendre et protecteur à la fois qui l'unit à Flicka est analysé avec une exquise compréhension.
Le Fils de Flicka - Thunderhead - met en scène un Ken plus sûr de lui, aux prises avec les instincts contradictoires qu'un atavisme complexe a donné au poulain. Le sacrifice que Ken s'impose finalement par respect pour la personnalité de l'animal termine le livre sur une note émouvante.
Dans l'Herbe verte du Wyoming, Ken quitte définitivement l'enfance pour atteindre l'âge d'homme, d'un homme qui va connaître l'amour avec ses joies et ses douleurs.
Le Ranch de Flicka raconte la vie quotidienne de Mary O'Hara et de son mari quand ils vivaient la dure expérience des ranchers nouvellement installés. La romancière livre ses confidences avec simplicité, passant des détails familiers à des méditations sur l'existence humaine.