« Le onzième jour après ma mort, Papa est allé porter ma couette à la teinturerie. Il renifle mon odeur, il tente de sniffer encore quelque chose de moi. En fait, ça pue : je n’avais jamais fait nettoyer cette couette. Il pleure le nez dans le coton. Il profite. »
Récit d’un deuil impensable, celui d’un enfant, Le Fils fait vivre avec pudeur, humour, désespoir et tendresse la douleur la plus inconcevable et l’amour le plus absolu.
Goncourt du Premier roman 2011
« Dans ce livre totalement singulier, Michel Rostain parvient à dire l’indicible, à penser l’impensable, à cerner avec délicatesse un événement monstrueux. Je l’ai lu six fois. À chaque fois j’ai pleuré. Plus étonnant, à chaque fois j’ai ri. Et à chaque fois je l’ai refermé en éprouvant une immense gratitude envers l’auteur, d’avoir su nous faire ressentir la beauté de l’amour, la manière miraculeuse dont elle nous enrichit, par-delà le deuil. »
Nancy Huston
Récit d’un deuil impensable, celui d’un enfant, Le Fils fait vivre avec pudeur, humour, désespoir et tendresse la douleur la plus inconcevable et l’amour le plus absolu.
Goncourt du Premier roman 2011
« Dans ce livre totalement singulier, Michel Rostain parvient à dire l’indicible, à penser l’impensable, à cerner avec délicatesse un événement monstrueux. Je l’ai lu six fois. À chaque fois j’ai pleuré. Plus étonnant, à chaque fois j’ai ri. Et à chaque fois je l’ai refermé en éprouvant une immense gratitude envers l’auteur, d’avoir su nous faire ressentir la beauté de l’amour, la manière miraculeuse dont elle nous enrichit, par-delà le deuil. »
Nancy Huston