Elle avait gagné un savoir-faire diabolique, une maîtrise étonnante et les jeux de l'amour lui plaisaient tous. Henry ne redoutait plus de s'enfoncer dans sa gorge hospitalière. [...] Lui-même la bouffait à pleine bouche, comme une tranche de pastèque, et elle lui tenait la tête à deux mains, pour mieux le guider dans son plaisir.
[...] Personne, mieux que lui, Miller, ne pouvait s'enorgueillir de cette belle éducation à l'amour. Il était son maître indubitable, et, s'il lui devait tout, elle lui devait au moins ça, l'apprentissage de la volupté et de la jouissance. "Pas la jouissance, corrigeait-elle. L'Extase! Toi, tu jouis, de moi, de la vie, de tout. Moi, je veux l'extase!""
Ce nouveau roman de Françoise Rey s'inspire des amours tumultueuses d'Anaïs Nin et d'Henry Miller.
[...] Personne, mieux que lui, Miller, ne pouvait s'enorgueillir de cette belle éducation à l'amour. Il était son maître indubitable, et, s'il lui devait tout, elle lui devait au moins ça, l'apprentissage de la volupté et de la jouissance. "Pas la jouissance, corrigeait-elle. L'Extase! Toi, tu jouis, de moi, de la vie, de tout. Moi, je veux l'extase!""
Ce nouveau roman de Françoise Rey s'inspire des amours tumultueuses d'Anaïs Nin et d'Henry Miller.