« Elles étaient excitantes ces taffes de jeu, ces bouffées d’illusions au cœur desquelles ils se racontaient sans y croire que quelque chose de leur fils mort passait quand même dans leurs vies. »
Onze ans après la parution du Fils, Michel Rostain écrit à nouveau sur la mort de son enfant. À la troisième personne, cette fois.
Deuil et joie : il semble impossible que ces mots puissent cohabiter dans une même phrase. Et pourtant, de mystérieuses joies ont réellement trouvé le moyen de se faufiler dans le deuil du papa et de la maman.
Pendant des années, ils se sont emparés de n’importe quoi – éruption d’un volcan, figures de lion en tous genres, statue, film animalier ou photo, invraisemblable série de hasards ou improbable rencontre – pour en faire des signes, des clins d’œil impossibles de leur Lion défunt.
Entre fiction et récit, entre inexactitudes, inventions et souvenirs incertains, un livre nourri de « joies malgré », portées jusqu’à l’ivresse par l’amour.
Un récit bouleversant et lumineux
Onze ans après la parution du Fils, Michel Rostain écrit à nouveau sur la mort de son enfant. À la troisième personne, cette fois.
Deuil et joie : il semble impossible que ces mots puissent cohabiter dans une même phrase. Et pourtant, de mystérieuses joies ont réellement trouvé le moyen de se faufiler dans le deuil du papa et de la maman.
Pendant des années, ils se sont emparés de n’importe quoi – éruption d’un volcan, figures de lion en tous genres, statue, film animalier ou photo, invraisemblable série de hasards ou improbable rencontre – pour en faire des signes, des clins d’œil impossibles de leur Lion défunt.
Entre fiction et récit, entre inexactitudes, inventions et souvenirs incertains, un livre nourri de « joies malgré », portées jusqu’à l’ivresse par l’amour.
Un récit bouleversant et lumineux