Alain Absire est né en 1950.
Il a publié deux romans : L'Homme disparu, Roman d'une ville en douze nuits.
Une fois le rideau baissé, que devient le comédien dans la vie de tous les jours ?
Le personnage central du roman est un acteur déjà confirmé, dont nous suivons les différentes activités professionnelles, au théâtre où il joue chaque soir, sur un lieu de tournage, dans un studio de synchronisation.
Nous découvrons ainsi, heure par heure, les exigences d'un métier qui mêle le réel et l'imaginaire, un monde d'illusions où, sous l'éclat des projecteurs, plus d'un risque de se brûler les ailes.
C'est le cas du jeune Grégory, un ami comédien que le narrateur s'efforce 'arracher
à sa solitude et à son désarroi, parce qu'il retrouve en lui le reflet de sa propre vocation.
Une vocation instable, sans cesse menacée par le faux-semblant, la misère ou la peur de vivre. Prenant le contre-pied des mémoires de vedettes plus ou moins frelatés, Alain Absire se souvient ici qu'il a été acteur et auteur de théâtre pendant plusieurs années.
Il nous parle d'un milieu qu'il a bien connu et qu'il aime passionnément.
Grégory-Strass est à la fois un livre-document et un roman de l'amitié où se confirme le talent d'un écrivain que la presse a salué comme le grand poinçonneur d'images de nos années quatre-vingts »
Il a publié deux romans : L'Homme disparu, Roman d'une ville en douze nuits.
Une fois le rideau baissé, que devient le comédien dans la vie de tous les jours ?
Le personnage central du roman est un acteur déjà confirmé, dont nous suivons les différentes activités professionnelles, au théâtre où il joue chaque soir, sur un lieu de tournage, dans un studio de synchronisation.
Nous découvrons ainsi, heure par heure, les exigences d'un métier qui mêle le réel et l'imaginaire, un monde d'illusions où, sous l'éclat des projecteurs, plus d'un risque de se brûler les ailes.
C'est le cas du jeune Grégory, un ami comédien que le narrateur s'efforce 'arracher
à sa solitude et à son désarroi, parce qu'il retrouve en lui le reflet de sa propre vocation.
Une vocation instable, sans cesse menacée par le faux-semblant, la misère ou la peur de vivre. Prenant le contre-pied des mémoires de vedettes plus ou moins frelatés, Alain Absire se souvient ici qu'il a été acteur et auteur de théâtre pendant plusieurs années.
Il nous parle d'un milieu qu'il a bien connu et qu'il aime passionnément.
Grégory-Strass est à la fois un livre-document et un roman de l'amitié où se confirme le talent d'un écrivain que la presse a salué comme le grand poinçonneur d'images de nos années quatre-vingts »