Après avoir moqué la gent politique, André Santini s'en prend au monde des experts. Futurocrates approximatifs, Madame Soleil des organismes de sondages et Cassandre en tous genres, l'auteur nous brosse ici un tableau sans égal de la sottise universelle.
En quelques décennies, le plus grand succès des experts de tous poils est d'avoir su se rendre indispensables. Désormais, leur influence sur le monde politique, économique et médiatique est considérable. Assimilés à de véritables docteurs de la foi, leurs rapports sont devenus de nouveaux Evangiles. Pourtant, leurs erreurs sont légion. Des experts du FMI se félicitant du tonus des économies asiatiques trois mois avant la crise aux audacieuses prédictions stratégiques d'André Maginot, des singuliers avis de spécialistes sur la loi des 35 heures aux délirantes visions des urbanistes, André Santini dresse un palmarès des prévisions définitives qui se sont révélées... totalement erronées.
Après avoir voté Giscard en 1981, Barre en 1988 et Balladur en 1995, André Santini a démontré qu'il était lui-même expert dans l'art de se tromper. Il avait donc toute légitimité pour dénoncer avec verve et malice le poids sans cesse grandissant de ces nouveaux oracles sur notre société.
André Santini est député-maire d'Issy-les-Moulineaux. Il a été ministre de la Communication et vice-président de l'Assemblée nationale.
En quelques décennies, le plus grand succès des experts de tous poils est d'avoir su se rendre indispensables. Désormais, leur influence sur le monde politique, économique et médiatique est considérable. Assimilés à de véritables docteurs de la foi, leurs rapports sont devenus de nouveaux Evangiles. Pourtant, leurs erreurs sont légion. Des experts du FMI se félicitant du tonus des économies asiatiques trois mois avant la crise aux audacieuses prédictions stratégiques d'André Maginot, des singuliers avis de spécialistes sur la loi des 35 heures aux délirantes visions des urbanistes, André Santini dresse un palmarès des prévisions définitives qui se sont révélées... totalement erronées.
Après avoir voté Giscard en 1981, Barre en 1988 et Balladur en 1995, André Santini a démontré qu'il était lui-même expert dans l'art de se tromper. Il avait donc toute légitimité pour dénoncer avec verve et malice le poids sans cesse grandissant de ces nouveaux oracles sur notre société.
André Santini est député-maire d'Issy-les-Moulineaux. Il a été ministre de la Communication et vice-président de l'Assemblée nationale.