Jeune médecin à la fin des années 1960, Patrick Aeberhard part pour le Biafra, mû par le désir de changer le monde.
Avec des confrères, il participe à la fondation de la première grande ONG humanitaire, Médecins sans frontières et, plus tard, à celle de Médecins du monde. Sa vie devient alors une suite d’aventures (missions de sauvetage, ponts aériens,
construction d’hôpitaux de fortune…), du Liban au Vietnam, en passant par l’Afghanistan, l’ex-Yougoslavie et le Rwanda.
Il se bat pour sauver les victimes de conflits armés et de famines, souvent dans des conditions matérielles précaires avec, comme boussole, le devoir d’ingérence et, comme soutien, la réflexion des grands intellectuels du temps.
Parfois freiné par les contraintes politiques et continuant son travail hospitalier, il ne se départ jamais, au fil de rencontres lumineuses sur le terrain, d’une conviction inébranlable dans sa mission : la responsabilité de protéger chacun, au nom de la dignité humaine.
Avec des confrères, il participe à la fondation de la première grande ONG humanitaire, Médecins sans frontières et, plus tard, à celle de Médecins du monde. Sa vie devient alors une suite d’aventures (missions de sauvetage, ponts aériens,
construction d’hôpitaux de fortune…), du Liban au Vietnam, en passant par l’Afghanistan, l’ex-Yougoslavie et le Rwanda.
Il se bat pour sauver les victimes de conflits armés et de famines, souvent dans des conditions matérielles précaires avec, comme boussole, le devoir d’ingérence et, comme soutien, la réflexion des grands intellectuels du temps.
Parfois freiné par les contraintes politiques et continuant son travail hospitalier, il ne se départ jamais, au fil de rencontres lumineuses sur le terrain, d’une conviction inébranlable dans sa mission : la responsabilité de protéger chacun, au nom de la dignité humaine.