Pont-Aven a séduit les artistes bien avant que Gauguin y vienne. Dès 1866, une petite colonie de peintres américains s’y établit. Tout les enchante : la lumière incomparable de la Bretagne, lespaysages et les moulins pittoresques, les sentiers du Bois d’Amour, le soleil sur la rivière, le spectacle du port animé par les bateaux
de pêche et, bien sûr, le magnifique costume des femmes. Ils dessinent, ils peignent, se font adopter par la population.
Parmi eux, on remarque Mary Ann Flynn, une jeune Américaine adepte du fusain. Bientôt, elle est rejointe par sa cousine anglaise, Victoria Greylord, qui préfère l’aquarelle. Ensemble, elles achètent un terrain au bord de la rivière et s’y font construire une maison qui accueillera leurs amis peintres, plus ou moins argentés.
Ravissantes et libres, les deux jeunes femmes mettent en émoi plus d’un homme, artiste, aristocrate ou pêcheur. Mais l’une et l’autre cachent une blessure. Auraient-elles choisi l’art contre l’amour ?
de pêche et, bien sûr, le magnifique costume des femmes. Ils dessinent, ils peignent, se font adopter par la population.
Parmi eux, on remarque Mary Ann Flynn, une jeune Américaine adepte du fusain. Bientôt, elle est rejointe par sa cousine anglaise, Victoria Greylord, qui préfère l’aquarelle. Ensemble, elles achètent un terrain au bord de la rivière et s’y font construire une maison qui accueillera leurs amis peintres, plus ou moins argentés.
Ravissantes et libres, les deux jeunes femmes mettent en émoi plus d’un homme, artiste, aristocrate ou pêcheur. Mais l’une et l’autre cachent une blessure. Auraient-elles choisi l’art contre l’amour ?
À travers la peinture d’une amitié sans faille entre deux femmes à l’esprit libre, Colette Vlérick fait revivre une page colorée mais souvent oubliée de la longue histoire entre Pont-Aven et les artistes.