André Santini est député-maire d'Issy-Les-Moulineaux et vice-Président de l'Assemblée Nationale.
Il a été ministre de la Communication.
On aura beau admettre que l'erreur est humaine, on aura toujours raison de se révolter contre l'erreur politique, de s'étonner de la sottise manifestée par certains de nos gouvernants, de leurs gaffes, bourdes et lapsus qui déconsidèrent autant leur personne que leur fonction.
Cette sottise, quand elle nous est contée par un homme qui connaît le sujet sur le bout des doigts, devient un monument, un phare, une épopée. Elle peut atteindre au sublime quand les hommes de pouvoir ont l'infirmité de se croire quelque chose.
Dans cet ouvrage, André Santini, grand décrispateur du monde politique, critique féroce mais juste des élus, ses pairs, met à jour, au-delà de très nombreuses ancdotes, les mécanismes qui permettent de telles erreurs :
- une surprenante méconnaissance des dossiers ;
- une certaine bureaucratie ;
- une trop grande confiance des élus envers des technocrates tout-puissants ;
- une coupable légéreté, parfois, dans l'attribution des fonds publics.
André Santini recense toutes ces énormes bévues d'hommes politiques, de droite comme de gauche, choisies dans des époques et dans des aires géographiques et culturelles différentes. Il démontre ici le caractère universel de la bêtise, seule Internationale à pouvoir survivre à l'effondrement des idéologies.
Il a été ministre de la Communication.
On aura beau admettre que l'erreur est humaine, on aura toujours raison de se révolter contre l'erreur politique, de s'étonner de la sottise manifestée par certains de nos gouvernants, de leurs gaffes, bourdes et lapsus qui déconsidèrent autant leur personne que leur fonction.
Cette sottise, quand elle nous est contée par un homme qui connaît le sujet sur le bout des doigts, devient un monument, un phare, une épopée. Elle peut atteindre au sublime quand les hommes de pouvoir ont l'infirmité de se croire quelque chose.
Dans cet ouvrage, André Santini, grand décrispateur du monde politique, critique féroce mais juste des élus, ses pairs, met à jour, au-delà de très nombreuses ancdotes, les mécanismes qui permettent de telles erreurs :
- une surprenante méconnaissance des dossiers ;
- une certaine bureaucratie ;
- une trop grande confiance des élus envers des technocrates tout-puissants ;
- une coupable légéreté, parfois, dans l'attribution des fonds publics.
André Santini recense toutes ces énormes bévues d'hommes politiques, de droite comme de gauche, choisies dans des époques et dans des aires géographiques et culturelles différentes. Il démontre ici le caractère universel de la bêtise, seule Internationale à pouvoir survivre à l'effondrement des idéologies.