«On ne vainc aucune montagne, on la gravit avec plus ou moins de brio, et parfois elle se montre accueillante, parfois au contraire elle rappelle tragiquement
sa toute-puissance. Il n’y a là aucune cruauté, mais peut-être une représentation de la réalité face à nos croyances, à nos désirs, aux illusions que se forgent les hommes.
La montagne est souveraine, imprévisible, magnifique, inhospitalière, infiniment précieuse, nécessaire, mortelle:elle est tout cela selon qui la regarde. Et les hommes qui l’aiment le savent au prix du deuil.»