Né à Jérusalem en 1936, Avraham B. Yehoshua est maître de conférences en littérature comparée à l'université de Haïfa.
Ses oeuvres sont traduites en de nombreuses langues.
Ecrivain israélien à l'écoute des voix et des frémissements
de son pays, Avraham B. Yehoshua a choisi l'art subtil
de la nouvelle pour balayer nos idées stéréotypées
sur l'union sacrée de la foi et du patriotisme et l'ardeur
inconditionnelle des citoyens-soldats.
Israël a changé. Trois hommes viennent, en trois récits,
nous en faire prendre conscience. Trois générations
ayant vécu trois guerres et qui, chacune à sa manière,
témoignent de leurs doutes. Du vieux professeur
à la recherche d'un fils dont on lui a annoncé la mort,
au conférencier venu exalter le sionisme devant les soldats
du Sinaï et qui découvre leur totale indifférence à la question,
et au commandant dont l'étrange torpeur contamine
inexorablement ses hommes, ils sont tous la démonstration
éblouissante que la guerre agit comme révélateur de la crise
des valeurs traversée par la société israélienne.
D'une plume fiévreuse, dans une langue magnifique,
Avraham B. Yehoshua fait ici la preuve qu'en Israël,
l'idéologie officielle des temps héroïques résiste mal
à l'angoissante interrogation des individus sur le sens de leur vie.
Du roman d'Avraham B. Yehoshua, l'Amant,
les critiques ont dit :
« Quatre cents pages de rêve, de fantasme, de magie.
Six personnages qu'il est difficile d'oublier »
E. Reichmann (Le Monde)
« Radiographie amoureuse mais implacablement critique
d'Israël » H. Bianciotti (Le Nouvel Observateur)
« Un roman stendhalien. Une magnifique leçon de courage
et d'optimisme » F. Ducout (Elle).
Ses oeuvres sont traduites en de nombreuses langues.
Ecrivain israélien à l'écoute des voix et des frémissements
de son pays, Avraham B. Yehoshua a choisi l'art subtil
de la nouvelle pour balayer nos idées stéréotypées
sur l'union sacrée de la foi et du patriotisme et l'ardeur
inconditionnelle des citoyens-soldats.
Israël a changé. Trois hommes viennent, en trois récits,
nous en faire prendre conscience. Trois générations
ayant vécu trois guerres et qui, chacune à sa manière,
témoignent de leurs doutes. Du vieux professeur
à la recherche d'un fils dont on lui a annoncé la mort,
au conférencier venu exalter le sionisme devant les soldats
du Sinaï et qui découvre leur totale indifférence à la question,
et au commandant dont l'étrange torpeur contamine
inexorablement ses hommes, ils sont tous la démonstration
éblouissante que la guerre agit comme révélateur de la crise
des valeurs traversée par la société israélienne.
D'une plume fiévreuse, dans une langue magnifique,
Avraham B. Yehoshua fait ici la preuve qu'en Israël,
l'idéologie officielle des temps héroïques résiste mal
à l'angoissante interrogation des individus sur le sens de leur vie.
Du roman d'Avraham B. Yehoshua, l'Amant,
les critiques ont dit :
« Quatre cents pages de rêve, de fantasme, de magie.
Six personnages qu'il est difficile d'oublier »
E. Reichmann (Le Monde)
« Radiographie amoureuse mais implacablement critique
d'Israël » H. Bianciotti (Le Nouvel Observateur)
« Un roman stendhalien. Une magnifique leçon de courage
et d'optimisme » F. Ducout (Elle).