Une cour intérieure d'immeuble, à la limite de la ville basse. La nuit tombe. Dissimulé derrière son store, Maxime, le boxeur, observe sa voisine Viola à la jumelle. Dans l'appartement du dessous, Joseph Spoon, l'ancien ténor d'opéra, assis dans son fauteuil, écoute un air de Don Juan.
Ainsi commence le nouveau roman d'Alain Absire où, à la manière du célèbre film d'Hitchcock, Fenêtre sur cour, les protagonistes du drame qui va se jouer sont réunis dans le périmètre fatal d'un grand ensemble.
Une série de meurtres inexplicables se produisent, tandis qu'entre le voyeur Maxime et la jeune Viola se développe une relation dangereuse faite de peur et de désir, sous l'oeil de Joseph Spoon, témoin impuissant.
Dans le décor d'une cité étrange, plantée de gratte-ciel, parcourue parfois de cortèges entiers de masques, l'auteur nous entraîne sur les pas de deux hommes marqués par l'échec.
Peut-on rester libre de ses pensées, maître de ses actes lorsque la vie que l'on avait rêvée s'abîme dans l'insuccès et le renoncement ?
Telle est la question centrale que pose ce beau livre nocturne, dont le rythme et les images rappellent les grand thrillers américains.
Ainsi commence le nouveau roman d'Alain Absire où, à la manière du célèbre film d'Hitchcock, Fenêtre sur cour, les protagonistes du drame qui va se jouer sont réunis dans le périmètre fatal d'un grand ensemble.
Une série de meurtres inexplicables se produisent, tandis qu'entre le voyeur Maxime et la jeune Viola se développe une relation dangereuse faite de peur et de désir, sous l'oeil de Joseph Spoon, témoin impuissant.
Dans le décor d'une cité étrange, plantée de gratte-ciel, parcourue parfois de cortèges entiers de masques, l'auteur nous entraîne sur les pas de deux hommes marqués par l'échec.
Peut-on rester libre de ses pensées, maître de ses actes lorsque la vie que l'on avait rêvée s'abîme dans l'insuccès et le renoncement ?
Telle est la question centrale que pose ce beau livre nocturne, dont le rythme et les images rappellent les grand thrillers américains.