Pendant une représentation de La Traviata au théâtre vénitien La Fenice, on annonce brutalement que le célébrissime chef d’orchestre allemand Wellauer ne pourra diriger la suite du spectacle. Le maître gît dans sa loge, le visage horriblement déformé par la douleur.
Le commissaire Brunetti se rend sur les lieux, et constate immédiatement que cette mort est suspecte : la victime présente tous les symptômes d’un empoisonnement au cyanure.
Brunetti, policier pragmatique et intuitif qui mène son enquête comme une étude de moeurs, découvrira dans l’envers du décor vénitien et dans les coulisses de l’opéra la véritable personnalité d’un être cruel qui avait suscité autant de haine que d’admiration.
Avec Guido Brunetti, Donna Léon a créé un personnage de l’envergure du Wexford de Ruth Rendell ou du Dalgliesh de P.D. James. Ce vénitien de pure souche, lucide, drôle et plein de tendresse pour les lieux et les gens, sait naviguer habilement dans les arcanes d’une hiérarchie policière engourdie et ses méthodes peu orthodoxes n’en sont que plus efficaces.
La Sérénissime, avec ses brumes, ses canaux et le dédale de ses ruelles et de ses places secrètes, offre un décor de choix à ses investigations.
La police repêche, au petit matin, un cadavre flottant dans les eaux sales d’un canal de Venise. Tous les indices concluent à une agression crapuleuse, mais pour le commissaire Brunetti le mobile apparent est un peu trop simple. Et l’identité du mort est embarrassante : c’est un militaire américain de la base de Vicence.
Peu de temps après, un palazzo appartenant à un riche homme d’affaires milanais est cambriolé. Les deux affaires semblent apparemment sans rapport, et pourtant Brunetti s’obstine à en voir un, d’autant plus que dans son entourage on essaie fermement de le détourner de cette hypothèse.
Et comme ici tout s’entrelace, à l’image du labyrinthe des canaux, Brunetti devra naviguer dans des eaux que ne trouble pas seulement la pollution, entre les colères de son supérieur irascible et sa trépidante vie de famille. En toile de fond, la cité des Doges avec son atmosphère délétère et sa magie envoûtante.
Par un matin d’août, un équarisseur découvre, dans un terrain vague de Mestre, la banlieue industrielle de Venise, le cadavre d’un travesti. On pense d’abord qu’il s’agit d’un des prostitués qui travaillent Via Cappuccina, mais lorsqu’on s’aperçoit que l’homme déguisé en femme n’était autre que le directeur de la Banca di Verona, le commissaire Brunetti comprend qu’il va devoir renoncer à ses vacances familiales dans la fraîcheur du Tyrol. Il n’est pas question d’énerver son supérieur hiérarchique, le procureur Patta, que sa femme vient de quitter pour s’installer à Milan avec le ponte italien du cinéma porno.
Dans une Venise écrasée sous la canicule, le débonnaire Brunetti s’attaque à son enquête la plus délicate, car, derrière l’univers sulfureux de la prostitution masculine, se profile l’ombre de la puissance Lega della Moralita, organisation caritative dirigée par d’éminents Vénitiens.
Donna Leon donne ici la pleine mesure de son talent, conjuguant avec grâce humour et tension dramatique, et révélant la profonde corruption de la cité des Doges.
Le commissaire Brunetti, enquêtant sur la mort d’un célèbre avocat, arpente les quartiers malfamés de Venise et tombe sur la piste d’un trafic international de prostitution.
Avec l’aide inattendue de la délicieuse signorina Elettra, la nouvelle secrétaire du vice-questeur, le commissaire Brunetti va découvrir un commerce plus ignoble encore qu’une « traite des Blanches » post-rideau de fer…
Donna Leon rend hommage à l’atmosphère unique de la Cité des Doges. On retrouve l’univers attachant de son héros, mari et père dévoué, fin limier, citoyen en lutte contre la corruption d’une ville dont le sens moral semble se détériorer plus vite que les palaces.
Venise en hiver : une cité crépusculaire, envahie par les eaux de la lagune durant l’acqua alta, et où l’on est obligé d’enfiler des bottes si l’on ne veut pas se mouiller les pieds. C’est dans cette ville battue par la pluie que le commissaire Brunetti va devoir enquêter sur la mort du dottor Semenzato, conservateur.
Découvrant les arcanes du monde de l’art, Brunetti sera confronté à un directeur de musée peu scrupuleux, à un antiquaire qui l’est encore moins, et à un collectionneur dangereux capable d’employer les moyens les moins recommandables pour se procurer l’objet de ses désirs.
Alors que Venise sort doucement de l’hiver, le commissaire Brunetti s’ennuie à la questure. Jusqu’au jour où il reçoit la visite d’une très belle jeune femme, religieuse défroquée. Parce q’un certain nombre de morts suspectes sont survenues dans l’institution où travaille celle-ci, elle a préféré quitter son ordre et demander l’aide de la police.
Avançant à pas prudents dans cette affaire délicate, Brunetti va découvrir que, derrière certaines congrégations respectables, se cachent des prêtres fanatiques, des grenouilles de bénitier manipulées et surtout l’Opera Pia, une sinistre organisation qui se place au-dessus des lois.
Mais il n’est pas facile pour un commissaire, même aux méthodes aussi peu orthodoxes que Brunetti, d’atteindre un membre du clergé dans la Cité des Doges.
Dans un champ en friche de la campagne vénitienne, on découvre un cadavre décomposé. Seule sa chevalière permet de l’identifier : il s’agit de Roberto Lorenzoni, fils d’une des plus grandes familles de Venise, kidnappé deux ans plus tôt et jamais retrouvé.
Chargé de rouvrir l’enquête, le commissaire Brunetti aura besoin de l’appui de sa noble belle-famille pour percer le cercle de l’aristocratie vénitienne où, noblesse oblige, les secrets sont bien gardés. Et les Lorenzoni, qui n’ont pas hésité à dénoncer les Juifs de Venise pendant la seconde guerre, pratiquent plus que tout autre l’art de la dissimulation.
Le commissaire Guido Brunetti est sur la sellette : sa propre femme, Paola, est arrêtée après avoir démoli la vitrine d’une agence de voyages qu’elle suspecte de promouvoir le tourisme sexuel. Brunetti est temporairement démis de ses fonctions.
Mais l’affaire se corse avec l’assassinat du propriétaire de l’agence. Pour tout indice, on retrouve à côté du corps une lettre accusant le défunt d’être un » pornographe « .
L’enquête s’annonce délicate, pour la carrière comme pour la vie privée de Guido Brunetti…
Personne n’aime être dérangé en pleine lecture de l’Annabase un samedi après-midi par un coup de sonnette intempestif. Surtout pas le commissaire Guido Brunetti, fin lettré et flic épicurien, et surtout pas pour une sombre affaire de permis de construire introuvable concernant son propre appartement…
Simple formalité ? Pas sûr. D’autant que le fonctionnaire zélé tombe malencontreusement d’un échafaudage où il n’avait rien à faire, devant des témoins qui à leur tour décèdent brutalement.
De fil en aiguille, avec la patience et la ténacité d’un flic habitué mais jamais résigné à l’égoïsme des bureaucrates de tout poil, le commissaire Brunetti va découvrir l’existence d’un vaste réseau de corruption. Derrière la façade fastueuse de la Cité des Doges, le monde interlope des dealers, des usuriers et des ripoux dicte sa loi.
Pellestrina, petite île située dans la lagune de Venise. Deux pêcheurs de palourdes sont retrouvés noyés dans les débris de leur bateau, leurs corps lardés de coups de couteau. Le commissaire Brunetti doit mener l’enquête au sein d’une communauté unie par un code de loyauté et une méfiance instinctive vis-à-vis des étrangers. Loin du monde raffiné de la Sérénissime, dans cette ambiance digne d’un village sicilien, la loi du silence est de mise. Pour tromper la méfiance des insulaires, Brunetti a l’idée d’envoyer sur place sa secrétaire, la signora Elettra. Celle-ci accepte de jouer les espionnes et de séjourner dans l’île, où elle a des parents.
Mais Brunetti ne tarde pas à regretter sa décision lorsqu’il apprend qu?un troisième meurtre vient d’être commis à Pellestrina. Il se retrouve alors déchiré entre son désir de démasquer le coupable, son inquiétude pour la sécurité d’Elettra et les sentiments quelque peu ambigus qu’il nourrit pour elle.
Le commissaire Brunetti reçoit un jour la visite de Claudia Leonardo, une étudiante élève de sa femme. La requête de la jeune fille l’intrigue : elle veut savoir si son grand-père, qui a commis un crime pendant la Seconde Guerre mondiale, peut être réhab ilité après sa mort. Mais elle reste évasive quant à la nature de ce crime.
Brunetti mène l’enquète et apprend qu’il pourrait bien s’agir d’un trafic d’oeuvres d’art.
Lorsque Claudia est retrouvée poignardée dans son appartement, les choses se compliquent. Tandis que certains secrets du passé refont surface, Brunetti doit déjouer les faux-semblants d’une affaire où l’honneur de plusieurs personnes est en jeu.
A venise, les masques dissimulent parfois d’inquiétants visages…
On vient de retrouver le corps du jeune Ernesto Moro, mort par pendaison dans la salle de douches de l’Académie militaire de Venise, dont il était élève. Le commissaire Guido Brunetti est particulièrement touché par l’affaire, car il est père d’un jeune adolescent. Officiellement, le jeune Ernesto s’est suicidé, mais Brunetti a du mal à croire à cette version officielle.
Car il règne une atmosphère trouble dans cette Académie réservée aux enfants de la grande bourgeoisie et de l’aristocratie vénitiennes… Et le jeune Ernesto Moro était le fils du jadis célèbre dottor Moro, médecin puis député, qui enquêtait sur le financement des hôpitaux publics italiens et le système d’approvisionnement de l’armée. Et que dire de la femme de Moro, dont le dottor est obligé de vivre séparé pour se protéger ? Le fils aurait-il fait les frais de règlements de comptes sordides ?
Le docteur Carlotti hait copieusement sa patiente Maria Grazia Battestini. Comme tous ceux qui se voient contraints de la côtoyer, car la vieille femme est aussi avare qu’acariâtre. C’est toujours à reculons qu’il se rend à sa consultation hebdomadaire. Mais ce jour-là, exceptionnellement, il ne se fait pas malmener, pour la simple et bonne raison qu’il la découvre assassinée dans son appartement vénitien, mis sens dessus dessous. À l’exception d’une pièce : la chambre de la femme de ménage roumaine? qui s’est curieusement volatilisée. Elle est bientôt repérée à la gare alors qu’elle tente de regagner son pays d’origine. Mais elle échappe à la police et passe accidentellement sous un train. Sur elle : une grosse somme d’argent et des faux papiers.
Pour Scarpa, qui remplace le commissaire Guido Brunetti en vacances, l’affaire est pliée. Pas pour Brunetti qui, dès son retour, s’emploie à traquer le vrai coupable. Même s’il rassemble des indices, il ne parvient cependant pas à cerner le profil du meurtrier. Jusqu’à ce que sa femme Paola se remémore la Bible et les sept péchés capitaux?
Avec l’aide de Vianello et Elettra, il fait fi des considérations hâtives pour découvrir les motifs cachés du meurtre de la vieille dame.
Venise, un soir d’hiver. Un vendeur à la sauvette africain est assassiné au beau milieu de Campo San Stefano. Un groupe de touristes américains était sur la place, marchandant des contrefaçons de sacs de marque, mais personne n’a rien vu qui puisse aider la police.
Le commissaire Brunetti est chargé de l’enquête et il a du mal à comprendre les raisons d’un tel crime : les immigrants sans-papiers vivent repliés sur eux-mêmes dans des squats insalubres, sans contact extérieur… Cela ressemble fort à un règlement de comptes au sein de la communauté et sa hiérarchie lui conseille de laisser tomber ses investigations.
Mais Brunetti veut en avoir le cœur net. Il fouille les quelques affaires de la victime et dans une petite boîte, il retrouve des diamants bruts dissimulés dans du sel… Qui était réellement cet immigrant ? Et comment s’est-il retrouvé en possession d’un tel trésor ? Et pourquoi cherche-t-on à décourager le commissaire dans son enquête ?
Par un beau jour de printemps à Venise, le commissaire Brunetti et son adjoint Vianello font libérer Ribetti, un ami de Vianello qui s’est fait bêtement coffrer lors d’une manifestation écologiste contre la pollution des eaux de la lagune.
À sa sortie de prison, Ribetti est violemment pris à partie par son beau-père, propriétaire d’une des verreries de l’île de Murano. Hors de lui, le vieil homme profère des menaces de mort à l’encontre de son gendre.
Pourtant, le cadavre qu’on retrouve quelques jours plus tard est celui du gardien de l’usine. L’homme avait auprès de lui une copie de L’Enfer de Dante… Il collectionnait les petits carnets sur lesquels il inscrivait des notes codées… Et il était obsédé par la pollution des eaux de la lagune qui, selon lui, avait causé le handicap mental de sa petite fille. Sa croisade l’aurait-elle amené à découvrir des secrets qu’aucun des grands verriers de Murano ne souhaitait voir exposés ?
Si un homme est mort pour avoir dit la vérité, ne déploiera-t-on pas les mêmes forces pour faire taire Brunetti ?
Un pédiatre et sa femme agressés en pleine nuit, leur béé de dix-huit mois enlevé sous leurs yeux… Pourquoi diable des carabiniers -les gendarmes italiens – ont-ils fait irruption chez ce couple et se sont-ils emparés de ce petit garçon ? le coup porté par son assaillant a-t-il vraiment rendu le médecin muet, comme il le prétend ? Quel lien cette arrestation a-t-elle avec celles effectuées simultanément par les carabiniers dans d’autres ville ?
Et enfin, qui a bien pu ordonner la mise en oeuvre d’une opération aussi effroyable ? Telles sont les questions qui taraudent le commissaire Guido Brunetti et son adjoint l’inspecteur Vianello lorsqu’on leur confie cette affaire.
Pour cette nouvelle enquête, Donna leon nous entraîne dans les méandres de Venise la magnifique et dans ceux, sordides, d’un réseau de trafic d’enfants.
Alors que le commissaire Brunetti vient d’enterrer sa mère, une étrange requête lui est présentée par un missionnaire tout juste revenu d’Afrique : le policier pourrait-il s’intéresser aux agissements d’une secte qui sévit depuis quelque temps à Venise ? Brunetti hésite. Peut-être le padre Antonin Scallon redoute-t-il seulement la concurrence. D’un autre côté, si le gourou cherche à plumer ses adeptes, il faudra y regarder de plus près.
Mais très vite, une affaire plus grave va monopoliser les pensées de Brunetti. Par une matinée froide et pluvieuse, le corps d’une fillette est retrouvé dans un canal. Fait étrange, nul n’a signalé sa disparition, ni celle des bijoux récupérés dans ses vêtements. Qui est cette enfant ? Qui a causé sa mort ? Pour protéger quels secrets l’a-t-on assassinée ?
Tant que Brunetti n’aura pas découvert la vérité à son sujet, cette petite fille hantera ses nuits…
Un soir que la neige tombe sur la Sérénissime, une femme blonde juchée sur des hauts talons et enveloppée dans un manteau de fourrure croise la route de notre cher commissaire Guido Brunetti. Elle s’appelle Franca Marinello, a le visage défiguré, cite Cicéron ou Virgile par cœur, et c’est la femme d’un homme d’affaires vénitien douteux.
Brunetti, fasciné, s’arrange pour enquêter sur le mari tout en suivant une autre affaire qu’il pense expédier. Mais le meurtre d’un transporteur routier l’entraîne au cœur d’un trafic de déchets organisé par la Mafia. Derrière ce trafic et l’argent malhonnête qu’il génère, la santé de milliers de personnes est mise en danger.
Très vite, des querelles entre les polices italiennes rivales surgissent, les assassinats se multiplient et des visages familiers refont surface… Le Tout-Venise semble mêlé à ces entreprises criminelles. Et la famille de Brunetti aussi.
Pas de repos pour le commmissaire Brunetti en cet été caniculaire. Pendant que sa famille profite de la fraîcheur des montagnes, Brusca, son ami d’enfance, vient lui demander son aide. Il y aurait des cas de corruption au tribunal de Venise et une juge y serait mêlée. Pour Brunetti, c’est une occasion de plus de s’opposer à sa hiérarchie, peu pressée d’enquêter au sein du système judiciaire de la Sérénissime. Evidemment, des notables sont impliqués dans cette affaire, mais aussi dans l’enquête officieuse qu’il mène en parallèle avec l’inspecteur Vianello. La tante de ce dernier, vieille dame crédule, obsédée par les horoscopes, divinations et prédictions en tous genres, retire de grosses sommes d’argent : est-elle victime d’un gourou peu scrupuleux qui lui extorque des fonds ?
Quand un greffier est assassiné, les maigres espoirs qu’avait encore Brunetti de profiter de vacances bien méritées sont défintivivement anéantis…
Après avoir quitté son petit ami durant des vacances ratées, Anna Maria Giusti rentre chez elle. Lorsqu’elle passe récupérer son courrier chez sa voisine Constanza Altavilla, elle trouve celle-ci étendue sur le sol, sa tête baignant dans une flaque de sang.
Pour le légiste, cela ne fait aucun doute, la vieille dame a été terrassée par une crise cardiaque et, dans sa chute, sa tête a heurté le radiateur de sa chambre. Dépêché sur les lieux, le commissaire Brunetti ne trouve aucune preuve flagrante infirmant cette hypothèse. Pourtant, il ne peut s’y résoudre. Quelque chose d’autre est arrivé, il le pressent, mais quoi ?
Pour en avoir le coeur net, Brunetti fouille dans la vie de la signora Altavilla. Sa famille d’abord, la maison de retraite où elle passait ses journées, les femmes battues qu’elle recueillait chez elle… Se dessine au gré de son enquête officieuse une personnalité complexe, riche de secrets. D’ailleurs chaque témoin lui semble multiple, devenant tour à tour héros ou bandit, victime ou bourreau. Il n’y a pas d’évidences, pas de lignes droites ici, tout y est tortueux comme les ruelles de Venise que Brunetti arpente pour – peut-être – trouver la vérité.
Qui est ce cadavre défiguré qui flottait dans le canal ? Aucun élément d’identification possible – si ce n’est une chaussure –, pas de signalement de disparition dans la région de Venise. Le mystère semble bien épais pour le commissaire Brunetti. Mais, il en est sûr, la victime ne lui est pas inconnue.
C’est l’irremplaçable Mlle Elettra qui l’aide à retrouver la mémoire : l’homme avait été filmé lors des manifestations des agriculteurs, à l’automne. La piste est fragile, mais elle permet au commissaire Brunetti et à l’inspecteur Vianello de remonter jusqu’à un abattoir situé sur le continent, à Mestre, où règnent le chantage et la corruption.
Après s’être révolté contre les pratiques frauduleuses du milieu bancaire et indigné contre des actions irresponsables pour l’environnement, Brunetti se retrouve plongé dans les scandales de l’industrie de la viande et confronté à des questions éthiques, notamment sur le droit des animaux, qui l’ébranlent profondément. La ville que Brunetti aime tant ne sera désormais pour lui plus tout à fait la même…
Tandis que les feuilles d’automne commencent à tomber dans les rues de Venise, le vice-questeur Patta charge le commissaire Brunetti d’enquêter sur une infraction commise par le magasin de masques sur le campo San Barnaba appartenant à la future bru du maire.
Mais voilà que sa femme, Paola, lui présente elle aussi une requête. L’homme, certainement handicapé mental, qui travaillait dans leur pressing, vient de mourir d’une overdose de somnifères. Paola ne peut supporter l’idée que personne ne l’ait jamais remarqué ni aidé, dans la vie comme dans sa mort. Intrigué lui aussi par le décès de ce personnage qu’il a croisé pendannt de nombreuses années, Brunetti entame des recherches dans le dos de son supérieur.
A sa grande surprise, il ne découvre rien sur cet homme : pas d’acte de naissance, pas de passeport, pas de carte de crédit. Pour l’administration italienne, il n’a jamais existé. Plus étrange encore, sa mère refuse de parler à la police et assure que les papiers d’identité de son fils ont été volés lors d’un cambriolage.
Au fil des révélations, on découvre qu’une famille d’aristocrates, les Lembo, semble mêlée à cette mort mystérieuse. Mais pour quelle raison ces gens puissants et influents auraient-ils éliminé ce malheureux simple d’esprit ?
En ce maussade lundi de printemps, le commissaire Guido Brunetti pensait n’avoir rien d’autre à faire que de lire des rapports, quand il reçoit soudain un appel fiévreux de la directrice d’une prestigieuse bibliothèque vénitienne. Plusieurs livres anciens et de grande valeur ont été endommagés, d’autres ont même disparu. Les employés soupçonnent un chercheur américain venu à plusieurs reprises consulter les livres, mais pour Brunetti, quelque chose ne colle pas.
Prenant l’affaire en main, le commissaire commence par enquêter sur les visiteurs réguliers de la bibliothèque et en conclut que le voleur n’a pas pu agir seul. Mais quand l’un des suspects est retrouvé mort chez lui, l’affaire prend une tournure beaucoup plus sinistre. Brunetti se retrouve immergé dans le monde sombre et secret du marché noir de livres antiques. Avec l’aide de son équipe, Isperetto Vianello et la Signora Elettra, il plonge dans l’esprit d’un voleur de livres, jusqu’à remettre en question sa conception de l’innocence et de la culpabilité et à dévoiler la terrible vérité.
Accompagné de son épouse Paola à la Fenice, le grand opéra de Venise, le commissaire Brunetti assiste à une représentation de la Tosca, avec la célèbre diva Flavia Petrelli qu’il n’a pas vue depuis fort longtemps.
Le spectacle, grandiose, s’achève par une pluie de roses jaunes tandis que Flavia est ovationnée. Mais des centaines d’autres roses jaunes attendent aussi la soprano dans sa loge. Un admirateur secret se cache derrière ces envois excessifs depuis qu’elle a démarré sa grande tournée en Europe et Flavia commence à s’inquiéter.
Bientôt, elle confie son appréhension à Brunetti, qui lui promet de mener sa petite enquête. Quand une jeune chanteuse vénitienne, dont le talent avait attiré l’attention de Flavia, est sauvagement attaquée, Brunetti commence à penser que les craintes de la cantatrice sont bel et bien fondées. Il va alors plonger dans la psyché de ce mystérieux fan obsessionnel et tenter d’éviter que d’autres dans son entourage soient blessées…
Au coeur de la nuit vénitienne, une adolescente chute du pont San Boldo dans un canal. Incapable de nager, Manuela est sur le point de se noyer quand un passant la sauve. Mais elle n’en sort pas indemne, souffrant de dommages cérébraux irréversibles qui la condamnent à garder à tout jamais l’esprit d’une enfant.
Quinze ans plus tard, à l’occasion d’un gala de charité, Brunetti rencontre la comtesse Lando-Continui, une riche mécène, qui s’avère être la grandmère de Manuela et qui lui demande d’enquêter sur le drame. Elle est convaincue qu’il ne s’agit pas d’un simple accident. Le commissaire hésite car si c’était un crime, il y a prescription. Guidé par la curiosité, la compassion et la volonté d’aider une dame âgée minée par la culpabilité, et accessoirement la meilleure amie de sa belle-mère, Brunetti finit par accepter l’affaire. Un cas qui s’avère rapidement des plus troublants…
Le commissaire Brunetti, surmené par des dossiers compliqués, s’offre une retraite solitaire dans une superbe villa de l’île de Sant’Erasmo, loin de sa femme Paola et de son patron. Il a bien l’intention d’y passer ses journées à ramer sur la lagune vénitienne et à déguster des plats locaux.
Mais soudain, le paradis vire au cauchemar quand le gardien de la villa, Davide Casati, disparaît lors d’un violent orage. Personne, pas même la femme qu’il rencontrait le soir en secret, ne sait où il se trouve.
Brunetti prend aussitôt l’affaire en main, ignorant que son enquête va le mener à rouvrir d’anciennes blessures et à révéler des secrets scandaleux dissimulés depuis des années dans les brumes de la lagune.
Quand le commissaire Brunetti reçoit une collègue de sa femme inquiète pour son fils Alessandro qui se drogue, ce sont le père de famille et le policier qui se mobilisent aussitôt en lui. Au même moment, un homme est retrouvé au pied d’un
pont, gravement blessé : le père d’Alessandro. Aucun témoin ni indice, et pourtant Brunetti fait le lien avec les addictions de son fils. Cependant, informations contradictoires et même mensonges le déroutent. Aidé de la belle commissaire Griffoni et de l’astucieuse signorina Elettra, il mène son enquête dans un réseau de mystérieux indics du monde de la drogue, de transactions souterraines et d’une arnaque scandaleuse, jusqu’à dévoiler une vérité insoupçonnée sur de sombres crimes.
Dans cette affaire qui tourmente Brunetti, il aura plus que jamais besoin de se tourner vers sa famille, le plaisir de se plonger dans ses livres et les bons petits plats de son épouse Paola…
Le commissaire Brunetti n’aime pas mêler travail et famille, alors quand son beau-père le comte Falier lui demande une faveur, il est bien tracassé. Un de ses meilleurs amis, Gonzalo Rodríguez de Tejeda, a l’intention d’adopter son jeune amant, afin de lui léguer son immense fortune le jour venu. Méfiant, le comte exhorte son gendre peu motivé à mener l’enquête sur le jeune homme.
C’est alors que Gonzalo s’écroule raide mort dans la rue. Peu de temps après, une de ses amies, tout juste arrivée à Venise pour lui rendre hommage, est retrouvée étranglée dans sa chambre d’hôtel. Désormais forcé de prendre l’affaire en main, Brunetti va lentement mais sûrement démêler les fils de la vie mystérieuse de Gonzalo, dévoilant ainsi des secrets de famille qui risquent fort de causer plus de mal que de bien.
Une formidable nouvelle enquête du commissaire Brunetti qui nous plonge dans l’univers impitoyable des Vénitiens les plus fortunés.
Paru le 15 septembre 2021
Quand le médecin d’un hospice vénitien appelle la police car une patiente en fin de vie souhaite témoigner, le commissaire Brunetti et Claudia Griffoni se rendent aussitôt au chevet de la jeune femme. Ses derniers mots évoquent son défunt mari Vittorio qui selon elle, a été assassiné. Brunetti lui jure de mener l’enquête.
Il découvre alors que Vittorio, qui travaillait pour une compagnie chargée de vérifier la qualité des eaux vénitiennes, est officiellement mort dans un accident de moto. Où se trouve la vérité? Avec l’aide de ses fidèles collègues, Brunetti va petit à petit démêler les fils d’un secret dissimulant une menace pour Venise et toute sa région.
Entre intrigue passionnante, personnages plus touchants que jamais et réflexion subtile sur la mort, Donna Leon nous dévoile à nouveau avec En eaux dangereuses son immense talent de conteuse et son regard si unique sur Venise.
Paru le 24 août 2022
Le commissaire Brunetti fête sa 30e enquête !
Au Campo Santa Margherita un doux soir d’été, deux étudiantes américaines partent en balade dans la lagune avec deux beaux Vénitiens et sont grièvement blessées dans un accident de bateau.
L’incident semble anodin, mais la curiosité du commissaire Guido Brunetti est piquée par le comportement des garçons, qui ont abandonné les victimes à l’entrée de l’hôpital. Le commissaire en est certain, ces deux suspects ont un secret à
protéger.
Aidé par sa collègue Claudia Griffoni, Brunetti découvre un vaste réseau de corruption où des bateliers véreux sont impliqués dans un sinistre trafic nocturne. Brunetti va devoir travailler de pair avec la Guardia Costiera en sillonnant les canaux sombres et sinueux de la ville pour faire éclater cette affaire au grand jour.
La trentième enquête du commissaire Brunetti est un véritable tour de force sur le crime organisé vénitien.
Paru le 23 août 2023
Dans la belle Venise, les activités criminelles semblent se calmer tandis que la ville sort de la pandémie. Le commissaire Brunetti profite de ce moment pour renouer avec la splendeur de la Sérénissime et sa riche culture.
Cependant, la trêve prend fin quand une amie d’enfance de Brunetti arrive en catastrophe à la questure. Elle soupçonne son gendre d’être mêlé à des affaires sordides, et de mettre ainsi toute sa famille en danger. Brunetti va mener l’enquête en secret, aidé de la signorina Elettra et de la commissaire Claudia Griffoni, au risque de désobéir à sa hiérarchie.
En démêlant les noeuds de cette histoire, il va remonter jusqu’aux milieux mafieux de la ville et faire éclater au grand jour une vérité terrible. Mensonges, arnaques et menaces…
Le commissaire saura-t-il protéger son amie tout en faisant respecter la loi ?
Paru le 21 août 2024
Un soir d’hiver, un corps est retrouvé dans les canaux de Venise. La victime, un ouvrier travaillant pour le palazzo Zaffo dei Leoni, semblait en apparence sans histoire. Mais la veille de sa disparition, lui et Brunetti avaient eu une discussion compromettante sur la future gérance du palais, bijou patrimonial de Venise.
En menant l’enquête, le commissaire découvre avec stupeur que le défunt avait une fascination malsaine pour les années de plomb en Italie. Brunetti se plonge alors dans ses souvenirs de cette période trouble dans l’histoire de son pays, afin de résoudre l’affaire et éviter un nouveau drame.
Une enquête magistrale menée dans la Venise actuelle mêlant brillamment musique et suspens, fiction et réalité.
Caterina Pellegrini, musicologue italienne enseignant à Manchester, accepte avec joie un poste de documentaliste au sein d’une Fondation à Venise. Contre toute attente, la place n’est pas de tout repos. Deux cousins se disputent l’héritage d’un ancêtre dont la succession serait tranchée par de vieux documents auxquels seule Caterina a accès. Le fameux ancêtre, compositeur baroque et diplomate, remplissait des missions cruciales auprès des cours allemandes pour le Saint-Siège.
À mesure que Caterina se passionne pour la biographie de cet homme, elle soulève un mystère : le musicien espion aurait-il trempé dans la plus grave affaire de meurtre de son temps ?
Donna Leon et Cécilia Bartoli ont décidé de remettre à l’honneur un génie de la musique baroque, Agostino Steffani. La collaboration de ces deux femmes est un événement international : le roman Les Joyaux du paradis et le disque Mission (Decca) sortent simultanément dans le monde entier.
« L’une de premières choses que l’on m’a dites lorsque je suis arrivée en Italie, il y a quarante ans, et alors que je ne parlais pas un mot d’italien, a été :
Mangia, mangia, ti fa bene.
“Mange, mange, ça te fera du bien.” Mais, comme je n’allais pas tarder à l’apprendre puis à le vérifier régulièrement pendant des décennies, il ne s’agit de rien de plus que la reconnaissance d’une vérité élémentaire : manger est bon pour soi, et bien manger vaut mieux pour soi que mal manger. »
Donna Leon
Découvrez l’authentique cuisine familiale italienne avec le commissaire Brunetti, héros des romans policiers de Donna Leon, et aussi fin limier que bonne fourchette. Introduites par des textes inédits de Donna Leon et ponctuées d’extraits gourmands de ses romans, près de 100 recettes nous offrent un voyage singulier au cœur des saveurs la Sérénissime, sous la férule de Roberta Pianaro, cuisinière vénitienne émérite.
Quelques plats pour vous mettre l’eau à la bouche :
Fagottini agli scampi
Crostini aux aubergines
Spaghetti alle melanzane
Lasagne con cuori di carciofo e prosciutto
Costolette di agnello al pomodoro
Zucchine alla ricotta
Tarte aux pommes, citron, oranges au Grand Marnier
Gâteau aux poires et crème pâtissière
Mangia, mangia, ti fa bene !
On connaissait Donna Leon en Simenon vénitien, en auteur des enquêtes du commissaire Brunetti, mais pas en Américaine à Venise ni en essayiste engagée. D’une écriture caustique, elle traite de la musique, de l’homme, de l’animal, de l’Amérique, des livres et de son lieu de résidence depuis vingt-cinq ans, sans complaisance aucune. Jamais elle ne sombre dans le cliché de carte postale : en Italie la dolce vita côtoie la mafia. Elle dépeint sa vie avant Venise ou ses voyages à travers le monde avec le même ton drolatique, la même acuité de regard. Ce recueil d’articles, écrits de 1972 à nos jours, nous révèle une femme telle qu’on la pressent à la lecture de ses romans policiers – une dure à cuire avec un sacré sens de l’humour -, au travers de ses variations sur la bureaucratie à l’italienne, la liberté à l’opéra, les bus saoudiens, les groupies de Lady Diana, les bons plans pour écrire un polar, le mâle italien, « ce macho de jour qui rentre le soir aider à faire la vaisselle », le dimanche matin des taupes, le New-Yorkais convenable, marié, homosexuel ou les deux, les funérailles de sa mère, la meilleure façon de tuer?
Dans ces Curiosités vénitiennes, Donna Leon rassemble les étonnantes légendes que se transmettent les Vénitiens de génération en génération : un éléphant sème la panique lors du carnaval avant de se réfugier dans une église ; les autorités de la ville embauchent des prostituées pour endiguer l’homosexualité ; des innocents sont condamnés à mort ; un joueur invétéré mise le palazzo familial…
À travers sept histoires cocasses, la créatrice du commissaire Brunetti nous régale d’anecdotes charmantes et nous révèle quelques coutumes locales d’autrefois et d’aujourd’hui.
Si ces Curiosités vénitiennes s’accompagnent d’un CD, c’est qu’à chaque histoire correspond un morceau d’Antonio Vivaldi, magnifi quement interprété par Il Complesso Barocco. Images, textes, musique : venez explorer dans l’harmonie l’une des plus belles villes du monde.
Une célébration littéraire, illustrée et musicale des arias de Haendel
Lorsque Donna Leon, auteur mondialement célèbre de romans policiers, n’est pas occupée à imaginer des intrigues policières ayant pour théâtre Venise, elle écoute des opéras. En particulier ceux de son compositeur favori, Georg Friedrich Haendel. Ce dernier a rempli ses arias de références animalières ; riches de symboles, les vertus et vices des lion, abeille, rossignol, serpent, éléphant, ou tigre résonnent dans toute son oeuvre.
Dans le présent ouvrage, Donna explore les compositions de Haendel et les bestiaires médiévaux pour réaliser un bestiaire personnel de douze animaux et de leur représentation mythologique, historique, artistique, au gré des illustrations du peintre allemand Michael Sowa.
Le CD joint renferme toutes les arias dont il est question dans le livre, interprétées magnifi quement par Il Complesso Barocco, sous la direction d’Alan Curtis. Fascinant et tout à fait original, Le Bestiaire de Haendel est un témoignage magnifi que de la culture et de l’esprit de Donna Leon.
On connaissait Donna Leon en Simenon vénitien, en auteur des enquêtes du commissaire Brunetti, mais pas en Américaine à Venise ni en essayiste engagée. D’une écriture caustique, elle traite de la musique, de l’homme, de l’animal, de l’Amérique, des livres et de son lieu de résidence depuis vingt-cinq ans, sans complaisance aucune. Jamais elle ne sombre dans le cliché de carte postale : en Italie la dolce vita côtoie la mafia. Elle dépeint sa vie avant Venise ou ses voyages à travers le monde avec le même ton drolatique, la même acuité de regard. Ce recueil d’articles, écrits de 1972 à nos jours, nous révèle une femme telle qu’on la pressent à la lecture de ses romans policiers – une dure à cuire avec un sacré sens de l’humour -, au travers de ses variations sur la bureaucratie à l’italienne, la liberté à l’opéra, les bus saoudiens, les groupies de Lady Diana, les bons plans pour écrire un polar, le mâle italien, « ce macho de jour qui rentre le soir aider à faire la vaisselle », le dimanche matin des taupes, le New-Yorkais convenable, marié, homosexuel ou les deux, les funérailles de sa mère, la meilleure façon de tuer?
La vie hautement romanesque de la maestra du polar
Donna Leon est une autrice incontournable adulée par des millions de lecteurs dans le monde entier pour son célèbre personnage de Guido Brunetti, commissaire de police à Venise. Mais avant de connaître le succès littéraire, la romancière américaine a voyagé aux quatre coins du monde – de la Chine à l’Arabie saoudite en passant par l’Iran –, animée par une soif de découverte et d’exploration. Toutefois, c’est à Venise que cette baroudeuse pose enfin ses valises : fascinée par la culture vénitienne, son art, sa gastronomie, sa musique, Donna Leon donne naissance à l’univers du commissaire Brunetti. La Sérénissime et ses canaux, ses trattorie et ses piazze emblématiques seront alors une source d’inspiration inépuisable pour ses enquêtes captivantes.
Avec finesse et humour, Donna Leon évoque le grand périple de sa vie et nous révèle enfin les secrets qui se cachent derrière Guido Brunetti, figure mythique du roman policier.
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